OPÉRATION TEMPÊTE D’ACIER : LA FIN DU MAJOR CORTEZ

C’est dans une atmosphère lourde, où chaque geste pouvait faire chavirer l’équilibre, que la justice a frappé fort — et juste. Deux jours plus tôt, plusieurs citoyens et travailleurs du port de Los Santos ont levé un drapeau rouge. Des allées et venues suspectes, des véhicules de sport lustrés comme sortis d’un film, des fourgonnettes à vitres teintées… le va-et-vient anormal gênait le quotidien des employés du Beding-Bedang, mais ce que l’on ignorait à ce moment-là, c’est qu’un réseau souterrain d’une ampleur insoupçonnée s’activait sous nos yeux.

Le LSPD, toujours vigilant, a ouvert une enquête et ce qu’ils ont découvert dans l’un des containers ferait frémir n’importe quel citoyen paisible : un véritable arsenal de guerre. Mitrailleuses, AK-47, shotguns, grenades, bombes collantes… le tout entassé dans un container prêt à semer le chaos. Estimée à plusieurs millions de dollars, cette cargaison menaçait la sécurité de toute la ville.

Face à une telle menace, les forces locales ont levé les yeux vers l’international. C’est ainsi qu’Interpol, via l’agente redoutée Mme Dupont, est entrée en scène. Son professionnalisme glacial n’avait d’égal que son efficacité. Les documents fournis par le LSPD, croisés avec les dossiers internationaux, ont permis de relier le container à un nom bien connu : le Major Cortez, baron de la contrebande et figure influente de l’île de Cayo Perico.

Cayo, une île réputée pour ses soirées mondaines autant que pour ses affaires louches, était jusqu’à présent hors de portée des autorités locales. Mais avec Interpol dans la balance, tout a changé. Une descente surprise a été menée avec succès, contournant les barrières de juridiction habituelles. Le butin a été saisi, le réseau démantelé, et la tête pensante — Cortez — mise en cage.

Son arrestation s’est faite dans la démesure, à l’image du personnage. Égocentrique, sûr de lui, il aurait déclaré être « au-dessus des lois ». Ironie du sort : c’est désormais entre les murs de Bollingbroke, la prison fédérale, qu’il aura tout le temps de méditer sur son statut autoproclamé.

Selon Mme Dupont, cette opération est un coup de poing dans l’estomac du crime organisé :

« Nous avons coupé les reins d’un réseau dangereux. Les rues de Los Santos sont aujourd’hui un peu plus sûres. »

Une seule arrestation. Un seul nom ciblé. Mais quel nom. Et pour cette victoire, bravo aux enquêteurs du LSPD, qui ont osé creuser plus loin. Bravo aussi à cette rare collaboration entre agences locales et internationales, qui démontre que face au crime, la loi n’a pas de frontière.